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Cultugrinations #1

Un blog, c’est personnel.
Ce qui veut dire qu’on peut y faire grosso modo ce qu’on veut (dans les limites de la loi, toussa toussa).
Et il s’avère que depuis un petit moment, je suis un tout-piti-poil frustré par ce que je vous propose ici. Pas que ça ne m’éclate pas de rendre compte de bouquins que j’ai adorés, détestés ou tout ce qui se peut se trouver dans le spectre intervalle, ou d’explorer des trouvailles plus ou moins risquées : bref, de parler d’Imaginaire littéraire sous toutes ses formes, ça c’est super cool.
Mais le fait est que mes goûts ne se réduisent pas à la lecture. Ça constitue certes une écrasante majorité, mais il n’y a pas que ça dans ma vie. Et depuis quelques temps, je me torture gentiment le cortex pour trouver une solution à l’absence de ces autres goûts entre les lignes virtuels de mon petit espace d’expression personnel. Une solution qui ne me ferait pas bêtement flooder mes abonné·e·s adoré·e·s à coup de mini-chroniques trop légères à mon goût à propos de toutes les découvertes artistiques que je peux faire en dehors de tout ce dont je parle déjà. Parce que même si je n’en parle pas tant que ça, j’aime le ciné, j’ai retrouvé le goût des séries (dans une certaine proportion), j’adore le jeu-vidéo (même si mon manque cruel de skill et de patience me gâche beaucoup de plaisirs potentiels), et je reste curieux de découvrir des trucs qui me feraient me dédire de mon rejet – raisonnable et raisonné – de la BD et de tous ses sous-genres.
Et je crois avoir trouvé un compromis satisfaisant, dont vous aurez lu le titre en premier en cliquant pour venir ici, si les choses sont bien faites. Un mot-valise un peu péteux pour éviter une expression qui m’a parue aussi évidente qu’encore plus péteuse : mes pérégrinations culturelles. Un bilan mensuel de grosso modo tout ce que j’ai croisé de culturel et digne d’au moins quelques mots, sans prise de tête. Juste de quoi me délester de mes impressions, et pourquoi pas, avec un peu de chance et de bonnes volontés partagées ; de quoi créer quelques échanges, partages et frictions de bon aloi.
On a le droit de rêver. Et avec la promesse que les prochaines itérations de ce billet mensuel existerons, que leurs intros seront bien moins longues et alambiquées, allons-y gaiement !

Ciné.
Bon, très petit mois cinéma. Pas beaucoup de sorties prometteuses, et des retours mitigés empêchant de se motiver à aller voir des films qui sans eux auraient pu être plus tentants. Enfin je dis « des », mais basiquement, on – parce que je ne vais au ciné qu’avec ma copine, en vrai – a repoussé notre visionnage du Nosferatu de Robert Eggers quelque chose comme 5 fois. Au moment où je vous écris cette chronique, il est bien possible qu’on aille le voir dans les jours qui viennent, mais aucune garantie.
Par contre, on est allé voir Un Ours dans le Jura. Oui oui, le film de et avec Franck Dubosc. Ce Franck Dubosc là, effectivement.
J’ai voulu tenter le coup, parce que la bande annonce semblait promettre une ambiance à la Frères Coen, du genre Fargo-mais-dans-le-Jura, que j’aime beaucoup les Frères Coen dans le registre de la comédie noire ; et que pour une fois qu’un film français semblait se promouvoir sur un humour pas trop potache et slapstick, autour d’une intrigue pas trop basique, avec un jeu relativement sobre – oui, j’ai des griefs envers une trop grosse partie du cinéma français – je me suis dit qu’il fallait lui laisser sa chance. Et j’ai absolument bien fait, parce que j’ai tout à fait adoré.
Le fait est que Franck Dubosc le réalisateur n’est clairement pas le Franck Dubosc humoriste ou comédien, y compris quand il s’agit de se diriger lui-même. Ici, pas de surjeu ou d’effets tape-à-l’œil pour provoquer un rire facile ou trop vite éteint à cause d’une pénible redondance. Au contraire, on joue sur un timing comique impeccable, pour du slow-burn cringe absolument délicieux ou pour des dialogues qui claquent et prennent par surprise, tout en restant toujours dans la parfaite économie des effets et une organicité assez confondante. Beaucoup de plans super bien construits, rajoutant à la narration des dialogues, par des petits détails de mise en scène super malins, comptant sur la complicité du spectateur pour capter ce qui est dit, en quelque sorte, entre les lignes. Tout ça est aidé par un scénario super solide et un montage au poil (j’insiste), soutenu par un cast à la hauteur et excellemment dirigé.
Mention spéciale évidente à Laure Calamy, parfaite en mère de famille débordée par une situation ubuesque qui ne fait qu’en rajouter sur son lot déjà lourd de charge mentale, mais qui parvient tout de même à tenir la barre en compagnie de son mari pas bien malin et encore moins courageux. Mais s’il faut la saluer elle parce que son duo avec Franck Dubosc est évidemment au centre du film et attire un bon nombre des scènes les plus réussies du film, tous les seconds rôles font très bien le taff et tirent ponctuellement leur épingle du jeu.
Et c’est ce qui, je crois, me fait particulièrement apprécier la façon dont ce film a été construit. Si, à la sortie de notre séance, nous avons cherché d’instinct à nous ré-échanger certaines de nos répliques favorites du film, ou à retrouver nos moments préférés ; j’ai personnellement été positivement marqué par le sentiment de cohérence générale du métrage. Oui, il y a des dialogues très drôles et des gags visuels très réussis, mais j’aurais du mal aujourd’hui à les invoquer pour leur plaisir propre, tant j’ai le sentiment que ces saillies dépendent de leur contexte. Elles sont bonnes en soi, mais elles sont tellement meilleures en relation avec ce qui les a provoquées et ce qu’elles provoquent que ce serait presque les gâcher que de les extraire de leur milieu naturel. Ce qui suggère une deuxième mention spéciale pour la co-scénariste du film, Sarah Kaminsky, et dont je devine qu’elle a apportée une grande partie de cette force au résultat final.
Bref, oui, c’était très cool. Une comédie noire d’une grande justesse et maintenant un excellent équilibre entre toutes ses composantes, pour un résultat diablement réjouissant et émotionnellement roboratif.

BD.
Oui, j’ai lu une BD ce mois-ci. Incroyable.
Bon, c’était un cadeau de Noël, de la part d’un BDphile patenté, mais ça compte quand même.
Et là BD en question, que j’ai lue autant par devoir que par curiosité, c’est Exterminateur 17, de Bilal et Dionnet, colorisée par José VIlarrubia, initialement sortie chez Métal Hurlant et ressortie plus récemment chez Casterman.
Bon et bah… C’est de la BD, quoi. Toujours un peu les mêmes problèmes pour moi avec ce médium ; je suis incapable d’en profiter à fond. C’est pas que c’est mauvais ou quoi, c’est juste que je ressors toujours frustré de ce genre de lecture.
Ici, c’est parce que j’ai l’impression que ça va beaucoup trop vite. J’aime l’idée de base, dans le genre un peu pulp ; le vieux et puissant créateur de clones militarisés se retrouve débordé par la redécouverte d’une de ses créations « ratées », trop dangereuse, lui ayant survécu. Conceptuellement parlant, c’est même assez cool, d’autant que ça part très vite bien plus loin que cette base prometteuse, et des questions philosophiques et techniques se posent qui suggèrent des réponses vraiment intéressantes. Sauf qu’on est pas là pour ça, en BD, ou alors d’une manière qui ne peut pas réellement me satisfaire ; parce qu’à moins d’étaler de rédhibitoires tartines de textes d’une case à l’autre, il faut simplement avancer. Et du coup, qu’on ait de jolies images ou non, moi, je reste sur ma faim. Il me manque des explications, des émotions, juste un peu de narration complexe par le truchement des mots, pour justifier les décisions prises par les personnages, ou au moins préciser comment on va du point A au point B. C’est peut-être mon manque de patience qui me pénalise, mon incapacité à me fixer sur chaque case le temps d’en appréhender tous les détails et autres subtilités, mais n’empêche qu’arrivé au bout, j’étais terrassé par l’impression que ç’aurait été nettement mieux en novella voire même en roman. Le texte, pur, pour explorer pleinement les motivations des personnages et les implications de ces dernières, comme leurs répercussions. Paradoxalement, avec le vecteur de l’image en plus, personnellement, j’y perds souvent quelque chose, parce qu’il y a un déséquilibre.
Je vais continuer à faire des efforts.

Jeux-vidéo.
Bon, commençons par la grosse déception du mois : 1000xResist. En dehors de la frustration permanente causée par le titre de ce jeu parce que bordel, comment on prononce ça à l’oral, je suis très triste parce que c’est un jeu que je me suis fait offrir, tout titillé que j’étais par les promesses formulées par l’enthousiasme d’autres joueureuses. Je m’attendais à une aventure narrative riche et à un gameplay à l’avenant.
Et euh, bah non, en fait. Alors certes, je confesse : je n’ai joué qu’une heure, le temps de compléter le premier chapitre, et de me dire que c’était mort. Donc je l’admets sans mal, mon jugement est tronqué ; néanmoins, j’estime que si un premier chapitre de jeu-vidéo constitue un avant-goût des chapitres à venir, alors je me sens absolument justifié dans mon abandon. Parce que pendant cette première heure, j’ai eu droit à beaucoup de choses que je déteste dans le jeu-vidéo moderne. Passons sur l’intrigue, à base de civilisation féminine du futur devant composer avec les conséquences terribles d’un virus ayant semble-t-il éradiqué une bonne partie du monde d’avant, de narration chronologiquement éclatée et de flash-backs. Ça c’est juste pas ma came et j’avais l’affreux sentiment d’avoir croisé ces motifs un millier de fois avant ce jeu : c’est pas sa faute, je suis un lecteur de SF avec une mémoire terrible, il aurait pu me convaincre se sa singularité autrement, à terme, avec suffisamment de twists et d’idées narratives séduisantes.
Non, c’est par le prisme du gameplay, ou plutôt de son absence, que doit passer toute ma frustration. Un truc qui m’agace beaucoup, avec le JV moderne, c’est le sentiment d’être privé de ma prérogative à jouer. Je déteste devoir tenir ma manette uniquement pour appuyer sur un bouton afin de passer des dialogues interminables. Et ici, j’ai eu ce sentiment pendant une heure. Alors certes, j’ai baladé mon personnage, j’ai bidouillé la temporalité pour accéder à des endroits inaccessibles, je me suis projeté d’ancre virtuelle en ancre virtuelle pour atteindre des zones cachées ; mais j’aurais tendance à appeler ça du faux gameplay, avec un peu de cruauté et d’amertume. Parce que je ne pouvais rien faire d’autre que ça et qu’il n’y avait aucune possibilité d’échec. De la même manière que les choix qu’on me présentait dans l’arborescence des dialogues n’en étaient pas vraiment et n’étaient finalement qu’autant d’étapes me menant forcément à la même réponse des personnages auxquels je m’adressais, toutes ces séquences de gameplay pauvre n’étaient que des clés qu’on agitait devant moi pour me faire avancer jusqu’à la prochaine étape d’une histoire interactive dont je n’étais finalement qu’une autre composante mécanisée.
Je n’ai jamais eu le sentiment de maîtriser quoi que ce soit ; je ne faisais qu’obéir à des impulsions automatisées.
Alors oui, c’est un jeu narratif, donc forcément, je ne peux pas trop reprocher au jeu de créer des couloirs pour que j’y marche. Mais je sais pas, il y avait ici un côté particulièrement dirigiste dans le level design qui le rendait ennuyeux en plus de lui donner une vibe prétentieuse au moment de passer du côté lecture des dialogues, se noyant dans une verbosité cryptique contre-productive. Moins j’en savais, et moins j’avais envie de savoir quoi que ce soit. D’autant plus que la protagoniste avait l’air particulièrement pénible.
Bref. J’ai peut-être raté un truc, mais le jeu ne m’a rien donné pendant une heure pour a minima me laisser le croire.

Alors que Pentiment, par contre. Certes, on me l’a offert aussi et je n’y ai également joué qu’une heure pour le moment, parce que j’ai du mal à me fixer pour de longues sessions de jeu ces derniers temps. Mais là, par contre, au delà des mécaniques de point’n’click tout à fait classiques, j’ai l’impression que son intégration subtile de petites mécaniques de RPG vont me donner le sentiment d’évoluer dans des couloirs pouvant évoluer en fonction de mes choix ; des choix motivés par mon envie de suivre la ligne directrice que mes décisions suggèreront. Et puis une ambiance dans le style du Nom de la Rose, ça me motive. Updates à venir, je l’espère, dans les mois qui viennent.

De même que pour No Man’s Sky, une autre preuve que mon instinct de conservation n’est pas au top non plus, puisque le genre exploration/crafting/bac à sable n’est pas réputé pour son amour des courtes sessions de jeu. Un peu plus de 7 heures investies, et je dois dire que je suis à la fois séduit et intimidé. En terme de QoL, c’est pas idéal : je trouve l’interface régulièrement lourde et peu pratique, et ça manque peut-être d’un système de quêtes pleinement personnalisable pour pouvoir anticiper et planifier clairement tout ce qu’il y a à potentiellement faire ; sans parler d’une table progressive contenant toutes les ressources à fabriquer, et à partir de quelles matières premières.
Mais il faut bien dire aussi que c’est quand même très cool d’avoir autant de choses à faire, entre scanner tout ce qu’on croise, améliorer son vaisseau ou se balader de signal de détresse en signal de détresse pour en trouver un plus gros et plus puissant. De la même manière que c’est assez stylé de croiser des aliens et de pouvoir apprendre leur langue au fur et à mesure des rencontres.
C’est le genre de jeu pour lequel je ne peux pas jurer que je vais aller au bout de l’histoire principale ou même boucler trop longtemps dessus, mais que je suis content d’avoir pris en main ; d’autant plus qu’au moment où je vous parle, une grosse mise à jour vient de tomber et promet de plus grandes variétés dans les environnements. Et bah c’est cool, quand on vient pour du dépaysement et des trucs spatiaux dans l’espace. Si je suis un peu paumé dès que je reviens sur ma base, je finis toujours par trouver quelque chose à faire et repartir content de ma petite session.
Pourvu que ça dure.

Pour en finir avec les jeux qu’on m’a offert : Synergy. Bon là, ça va être rapide. C’est encore en accès anticipé, et lors de ma première toute petite session, alors que le jeu est très loin d’être fini, ça promet d’être un des citybuilders les plus touffus et complexes que j’ai pu croiser, avec une DA sublime. Alors j’ai lâché très vite en me disant que je m’y mettrai au moment de la 1.0. Voilà, patient. (Et au pire, en attendant, je pourrai toujours retomber dans Against The Storm, cette tuerie.)

Sinon, il y a aussi le registre « petits jeux moins ambitieux que j’aime bien parce que je peux y jouer en même temps que je regarde des vidéos sur Youtube et qu’ils aident bien à passer le temps quand je n’ai pas l’énergie ou la motivation de lire ni de lancer un plus gros jeu ». Mais en vrai, en parler me déprime un peu, parce que je me rends compte que j’aimerais vraiment investir de mon temps dans des sessions plus longues, mais que l’état du monde et de mon anxiété m’en empêchent régulièrement. Alors je vais juste vous citer Coin Pusher Casino, Digseum et Talented, qui dans leurs mécaniques toutes simples et leur propension à fournir de la satisfaction brute en échanges de quelques manipulations, ont très bien fait le taff ce mois-ci, merci à eux.
Et mention spéciale à Supermarket Together, très bonne excuse pour juste passer du temps en local avec des gens cools, ça fait du bien aussi par où ça passe, même si c’est assez couillon en terme de progression et de pur gameplay ; l’essentiel est ailleurs.

Séries.
Et note finale de ce premier numéro, avec une seule série, alors j’avais anticipé plus. On a repris Apple TV+ pour la deuxième saison de cette dinguerie de Severance, mais comme tous les épisodes n’ont pas droppé en même temps et qu’on savait quelle allait être la frustration de ne pas pouvoir au moins en enchaîner deux ; on s’est rabattu sur Shrinking.
Parce que Bill Lawrence (Scrubs forever, en dépit de ses évidents défauts), parce que Jason Segel (Dispatches From Elsewhere, top3 de mes séries de tous les temps, facile), et parce que Brett Goldstein (Ted Lasso : Roy Kent ET scénario). En bref trop de beau monde pour ne pas croire qu’il pouvait se passer quelque chose d’intéressant.
Et effectivement, c’est merveilleux. On est plus du côté de la dramédie que de la comédie dramatique, avec comme point de départ un psy qui ne parvient pas à se remettre du décès de sa femme un an auparavant et qui décide d’envoyer bouler toute déontologie dans son métier, bouleversant au passage sa vie et celles de ses proches.
Que dire. On rit beaucoup, d’abord. À coup d’humour noir et de dialogues rebondissants d’un personnage bigger than life à un autre personnage bigger than life, mais avec ce sens de l’équilibre qui nous donne quand même le sentiment que c’est réel, la force du comique venant contrebalancer et nourrir le côté le plus sérieux et triste du show. C’est le genre de série que j’aime très fort parce qu’elle a beau nous donner à voir quelque chose de régulièrement trop beau ou drôle pour être vrai, elle parvient quand même à me toucher en plein cœur avec ses séquences les plus sérieuses ; ce n’est pas ce genre de récit où le rire vient uniquement servir de soupape artificielle à un drame trop lourd, mais plutôt l’inverse, je trouve à l’image de la vie : c’est le genre de narration où les choses sont superficielles et légères jusqu’à ce qu’elles ne le soient plus, parce que parfois la réalité est juste cruelle comme ça.
Mais, et c’est là l’essentiel, recoupant très bien les forces créatives des trois showrunners, il me semble : aucun conflit ou aucun élément dramatique n’est insurmontable. Il se passe des choses dures, les personnages ont des défauts, ils fautent régulièrement, plus ou moins gravement, mais ils communiquent. Les problèmes traînent plus ou moins, mais jamais éternellement. Et entre les rires, franchement réguliers, on a des moments d’émotions organiques, jamais trop forcés, et jamais artificiels, à mon goût.
En tout cas, c’est le sentiment que j’ai, arrivé à la moitié de la deuxième saison. J’aime beaucoup ce que propose cette série.

Voilà, c’est tout pour ce mois-ci, et c’est déjà pas mal !
Comme toujours, je serais curieux et enthousiaste d’avoir vos retours, qu’on puisse éventuellement creuser tout ça.
Ça nous laisse un mois pour discuter.

Au plaisir de vous recroiser.
En attendant, que votre avenir soit rempli d’étoiles. 😉

2 comments on “Cultugrinations #1

  1. Je commente tardivement mais j’ai beaucoup aimé lire tes cultugrinations ! Il faudra que j’essaie de voir « Un ours dans le Jura » un de ces quatre (probablement en streaming car il n’est pas passé chez moi). Merci pour la recommandation 😉

    Aimé par 1 personne

    1. Avatar de Laird Fumble Laird Fumble dit :

      Avec plaisir, merci à toi ! =)

      Aimé par 1 personne

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