Hey there !
Déjà l’épisode 2, comme le temps file.
Je vous propose qu’on s’y mette direct, y a plein de choses dont j’ai envie de parler.
Lezzgo.
Ciné.
Un mois bien plus actif, cette fois-ci.
Même si, en commençant par le Nosferatu de Robert Eggers, on a pas commencé le mois sous les meilleurs auspices. C’est rigolo, c’est en arrivant au cinéma que je me suis rappelé que si le réalisateur m’était un peu familier, mes maigres souvenirs de son travail n’étaient pas vraiment de nature à me rendre optimiste ; en effet, il est fort possible que son The Northman ait été le point de départ de ma réalisation récente quant à ma détestation grandissante des motifs tragiques. Et par corollaire, de l’idée qu’on a beau enrober des idées que j’aime pas dans des jolis atours, il en restera toujours que je n’aime pas ces idées.
Et pour en revenir au sujet présent, ce Nosferatu en est une parfaite illustration à mes yeux. Ce film est visuellement magnifique, rien à dire là dessus. Super images, cadrages au poil, lumière sombre mais lisible, compositions inspirées, c’est vraiment super joli. Mais alors mes aïeux que c’est d’un triste, au niveau du scénario et de son interprétation ! Si j’admets volontiers que la figure du vampire, plus particulièrement dans un contexte si gothique impose quelques contraintes thématiques, je ne pense pas non plus qu’il soit impossible de retravailler ces tropes d’une manière plus moderne. J’oserais même penser et affirmer qu’il est plus que temps de passer à des interprétations neuves pour dépoussiérer un peu tout ça.
Et de fait, si je reconnais sans mal la volonté féministe du réalisateur/scénariste avec son interprétation du mythe de Nosferatu/Dracula/Comte-Vampire-libre-de-droits, j’estime avec encore moins de mal qu’il s’est complètement planté.
Parce que bon. Passons sur cette idée fatiguée et fatigante du vampire comme pure incarnation du désir et de l’émancipation féminine par la reprise en main de sa puissance sexuelle ou je sais pas trop quoi, qui me gonfle, mais qui n’est même pas le plus gros problème ici. Le plus gros problème ici, c’est comment tu peux songer une seule seconde être crédible en tant qu’allié féministe en mettant en scène une femme qui n’a le droit qu’à 10% du temps d’écran par rapport à ses camarades masculins qui la dépassent en nombre et en importance, tout en réduisant uniquement cette pauvre créature à un statut de victime perpétuelle, doublée d’un objet de désir, et rien d’autre. Elle ne sert qu’à être un symbole prompt à être sacrifié pour le bien des hommes qui l’utilisent et la méprisent tout en faisant semblant/se convaincant faussement de l’aimer. C’est nul.
Vous voulez faire des films féministes : présentez vos personnages minorisés comme des agents de leur destin, pas comme des martyrs en attente de leur glorieuse exécution.
Mettez en scène leur libération, pas leur oppression, bon sang de bois.
Ce qu’a beaucoup mieux fait Companion, tiens, heureux hasard ! Alors certes, ça se prend beaucoup moins au sérieux, et les ambitions ne sont pas les mêmes, mais n’empêche que j’ai passé un excellent moment. Sorte d’anti-slasher allégorie de la domination systémique du patriarcat à travers le concept de la programmation informatique, c’est pas parfait – parce que ça essaie peut-être un poil trop de tout caser vis-à-vis de sa métaphore – mais c’est super malin et ça marche vraiment super bien. Plein de bonnes idées de scénario et quelques petites astuces de réalisation pour aller avec. Furieusement sympathique.
Dans un tout autre registre, mon UGC a concocté une programmation spéciale pour la semaine de la St-Valentin, avec tout plein de films romantiques. Ce qui m’a permis de revoir La La Land, que j’aime toujours aussi fort, pour la simple raison que j’apprécie particulièrement l’idée qu’il défend : on peut vivre une histoire d’amour intense qui ne finit pas aussi bien qu’on le voudrait sans pour autant en garder la moindre rancœur, précisément parce que cette relation nous a fait grandir. Quand la morale est « ne pleure pas parce que c’est fini, souris parce que c’est arrivé », mon petit cœur fleur bleue est content.
Et coïncidence amusante qui ne m’a frappé que bien trop tard pour que mon orgueil ne soit pas froissé, on retrouve Emma Stone et Ryan Gosling dans Crazy Stupid Love – qui oui, existait avant La La Land, mais on se comprend – une comédie romantique toujours fort sympathique elle aussi, même si j’ai un peu craint qu’elle ait mal vieilli au début de notre revisionnage. Mais au final, non, tout va bien, c’est toujours très drôle, très tendre, et en plus y a Julianne Moore : top.
Autre redécouverte plus compliquée pour moi : Moulin Rouge. Je n’en avais que des souvenirs flous, et pour cause, c’est quand même beaucoup. J’aime beaucoup son côté meta, j’adore y voir Nicole Kidman dans un registre comique que je lui avais complètement oublié, j’aime aussi pas mal le mélange entre musique moderne et ambiance début XXe siècle, et même si Baz Lurhmann en fait des caisses, il le fait pour la majeure partie plutôt bien. C’est juste que bon, le côté « l’amour peut tout conquérir », les numéros musicaux tous plus flamboyants et frénétiques les uns que les autres, c’est un poil usant pour moi, mon cynisme et mon endurance limitée. Disons que je reconnais les qualités du film en rapport direct avec ses ambitions et le sens que le réalisateur voulait lui donner, mais c’était simplement too much pour moi. J’suis trop vieux pour ces conneries, basiquement. Mais c’est ça de plus fixé dans ma culture perso. Et ça c’est bien.
Et juste avant de conclure : revisionnage obligatoire parce que trop logique d’Au revoir là-haut d’Albert Dupontel après ma découverte de son origine littéraire. Et si j’aimais déjà beaucoup ce film, maintenant que je peux le considérer en tant qu’adaptation, je l’aime presque encore plus. Respect quasi intégral du récit premier, mais surtout de son esprit, ne se fendant que de quelques choix différentiels qui pour certains, je trouve, marchent presque mieux que dans le roman, c’est assez parfait.
Et donc, pour conclure, in extremis, la veille de la fin du mois : The Monkey. Adaptation d’une nouvelle de Stephen King, on est dans le domaine très casse-gueule de la fable horrifique, avec des tons de comédie noire jouant très volontiers avec l’effet de choc et l’hémoglobine. Si je regretterais peut-être un ton un poil le cul entre deux chaises et essayant parfois un peu trop fort d’appuyer son allégorie du deuil et du trauma intergénérationnel quitte à sacrifier ses effets d’horreur comique, à la fin du film, j’étais quand même très content. Tout simplement parce que malgré tout, ça marche : le message est simple mais pas simpliste, et le film fait de vrais efforts créatifs tout du long, à la fois quand il s’agit d’être marrant et d’être sérieux. En fait ça tient à un truc important pour moi : il n’accorde pas trop d’importance à la tragédie, se moquant même assez régulièrement d’elle avec une relative efficacité ; ça me fait du bien personnellement, dans une période où je trouve qu’on esthétise beaucoup trop le martyr et la souffrance comme des prérequis du beau. Alors oui, certes, il y a là un certain gâchis de Tatiana Maslany, et les caméos d’Elijah Wood et Adam Scott, pour ce qu’ils ont de savoureux, sont un poil frustrants, mais rien que pour les dernières minutes du film et ce qu’elles représentent, en plus de toutes ses autres réussites, je trouve que le film est bon. À mon goût, tout du moins. Et le singe du titre est super glauque. Bien flippant. Bref, c’tait cool.
Plutôt un bon mois ciné. J’aurais peut-être aimé voir plus de nouveautés, mais bon, hein, on prend le temps qu’on peut prendre.
Séries.
Petit mois série, mais rien de vraiment étonnant là-dedans. J’ai beau avoir accepté ce médium culturel dans ma vie, ça reste compliqué d’être vraiment fidèle et assidu quand pendant si longtemps on a été hermétique comme moi.
Bref : la fin de la saison 2 de Shrinking a continué sur sa superbe lancée, et j’ai très hâte d’une saison 3, en me disant qu’il faudra pas que la série traîne trop vers sa conclusion ; donnez moi encore deux ou trois itérations à tout casser histoire de conclure l’ensemble en beauté, je serai content. Dans tous les cas, Harrison Ford qui semble se faire plaisir comme jaja en jouant les vieux grognons au grand cœur c’est un petit bonheur que je n’aurais jamais anticipé à cette ampleur, mais on prend tout ce qu’on peut. Vraiment une série que je recommande pour son approche extrêmement organique de plein de petites choses qui font synergie et la rendent assez singulière, sans fausses notes. Top.
Que dire qui n’enfoncerait pas des portes ouvertes à propos de la saison 2 de Severance ? (On est à la moitié, ssshhhhhh.)
Toujours un regard féroce et d’une acuité terrible sur le monde du travail, allié à une intrigue cryptique juste assez nébuleuse pour donner envie de savoir le fin mot de l’histoire et d’obtenir des réponses à tout ce bordel. L’équilibre entre fantastique technoféodaliste et enjeux plus humains demeure excellent, même si comme pour toutes les séries de ce genre, mon plaisir quasi intégral est un peu parasité par une crainte d’un récit s’étirant trop en longueur et ne sachant pas trop comment finir, à terme. Il faudra que les réponses continuent à venir au bon rythme pour que cette petite angoisse se dissipe, mais fondamentalement, je sais que la série fera quand même date d’une manière ou d’une autre pour moi. Qu’elle finisse en gâchis ou en apothéose, elle aura de toute manière réussi à accomplir des trucs tellement incroyables et inattendus, que ce soit sa réalisation, son scénario ou son interprétation : c’est un tour de force, un vrai.
Contrairement à Prime Target ! Série d’espionnage qui essaierait de se situer quelque part entre Un homme d’exception et Alias, avec son petit génie des maths neuroatypique qui se retrouve embarqué dans une terrible conspiration à l’échelle mondiale à cause de son obsession et de ses travaux avec les nombres premiers. Ça commençait pas trop mal, en dehors de quelques clichés dommageables autour du perso principal et de ses rapports humains négativement affectés par son côté « machine à chiffre sans trop de sentiments ». C’est quand il a fallu injecter de l’espionnage pour de bon que c’est parti en cacahuètes. Passons sur le côté « société secrète bizarre qui a clairement un problème avec les nombres premiers », parce que n’en étant qu’à l’épisode 5 la série n’a pas encore eu réellement l’occasion de se ridiculiser à mes yeux avec ça ; mais alors du côté espionnage, pitiééééé… Jamais vu des organisations d’espionnage aussi bêtes. Mais alors bêtes. Remarquez, c’est pas de leur faute, z’ont été écrits comme ça, hein. Mais alors, les allégeances aléatoires, les agents supposément super balaises qui se font humilier de manière plus couillonnes les unes que les autres, les trucages de documents ou autres tentatives d’effacement de traves compromettantes, tout y passe, et rien n’est crédible, tellement tout le monde passe pour un crétin. C’est assez exceptionnel. Pour tout dire, si on a commencé à regarder avec curiosité, notre intérêt à assez vite chuté face à la pauvreté de l’écriture. Puis est remonté en flèche, en constatant le plaisir qu’on avait à regarder tout ça avec un maximum de recul et de mauvais esprit. Alors certes, avec tout ce qu’on a à mater, c’est pas la priorité, mais il est fort possible qu’on en ait pas fini avec ce qui pourrait bien être une série nanar. Je vous tiens au jus.
Jeux-vidéo.
Et là aussi : petit mois. Pas de mises à jour sur mes aventures du mois passé, juste des petites découvertes valant le coup d’être signalées pour le temps que j’y ai passé.
D’abord, Coldridge, sympathique petit jeu d’exploration roguelike en mode stop ou encore. Ambiance western goldrush avec une petite touche de fantastique pour justifier le système de boucle et l’aspect intrigue du jeu, c’est nickel. Et niveau jouabilité, c’est parfait pour les petites sessions sans trop de prise de tête, mais assez pour avoir le sentiment d’un réel challenge, le jeu versant régulièrement du côté puzzle mental de la force ; le genre de jeu où je suis rarement frustré de perdre parce que c’est plus souvent de ma faute et celle de ma flemme de prendre le temps de réfléchir que celle du jeu si je me plante. On a beaucoup de ressources in-game pour pouvoir s’en sortir si on fait un petit effort et pas mal de synergies intéressantes à exploiter. Et en plus, selon les personnages, les enjeux et les mécaniques s’enrichissent, donc on a plusieurs façons de jouer au même jeu, c’est vraiment cool.
En milieu de mois, je me suis porté acquéreur du Humble Bundle en faveur de la grève des travailleureuses du jeu-vidéo, parce que joindre l’utile à l’agréable, c’est toujours bien. Et si je n’ai certainement pas fini de faire le tour, j’ai été particulièrement accroché par Pyrene (ce qui explique d’ailleurs que le tour en question va prendre du temps : et c’est bien). Pas forcément fan de la DA, même si je me doute que c’est avant tout une question de moyens qui fait que je trouve le jeu un poil cheap, visuellement parlant.
Par contre, niveau gameplay, alors là, on est dans ce que j’adore. Jeu de cartes roguelite avec une progression et des mécaniques aux petits oignons, je me régale. Ce sentiment glorieux quand on parvient, à coup de nouvelles cartes, de maîtrise des spécificités de chaque perso, de chance dans le drop des reliques, à bâtir des combos failsafe, passant de tableau en tableau avec une impression de puissance implacable, c’est un plaisir infini ; d’autant plus quand le jeu intègre intelligemment ses contraintes et ses rouages de progression de manière à vous accrocher en vous disant que la prochaine sera probablement la bonne, tout en vous indiquant parfois passivement le chemin ou en vous filant des petits coups de main. Grosse rejouabilité pour ce qu’il semble proposer initialement, c’est ma came et demi.
Tout comme le merveilleux Wingspan, qui a régulièrement droit à des petites frénésies de sessions de ma part. Initialement mon jeu de plateau préféré pour la précision de son game design, son équilibre parfait entre complexité et accessibilité, développement de jeu dans son coin et interactions avec les autres joueureuses, la beauté de son matériel et sa rejouabilité virtuellement infinie, forcément que son portage en jeu vidéo me le rend extraordinairement sympathique. Et en plus on peut apprendre des trucs sur les oiseaux en y jouant, et ça c’est cool. Voilà, c’est pas le jeu vidéo sur lequel faire des tartines conceptuelles ou quoi, mais je l’aime très fort, et ç’aurait été dommage de pas tenter un tout p’tit peu de propagande.
Musique.
Enfin, je vais pouvoir parler musique sur ce blog, ENFIN ! Depuis le début de cette aventure, je désespère de trouver un moyen de le faire d’une manière satisfaisante sans avoir à écrire des articles complets qui me frustreraient forcément par leur volume et leur exhaustivité inappropriée à mes yeux. Du coup, dans un format revue globale comme celui-ci, c’est nickel, je peux en faire juste assez pour me satisfaire mais quand même évoquer mon deuxième fluide vital. Et non, je n’exagère pas : privez moi de musique pendant quelques jours, vous verrez dans quel état je serai.
Et donc, en ce mois de février, j’ai enfin pu, pour la première fois depuis des mois, pu décider de m’acheter des albums sans me trouver trop déraisonnable (c’est la crise ma bonne dame).
J’ai d’abord craqué pour l’EP 2005 du groupe South Arcade, séduit par leur single éponyme, un petit banger de pop-punk à la sauce… eh bah 2005, hein. Entre le clip et la chanson elle-même, on est dans un hommage clair à la musique de l’époque, avec une prod’ impeccable et une énergie contagieuse, sans oublier le pôti twist de modernité dans certains choix de composition et d’arrangement qui rendent le tout assez implacable pour mes oreilles de basic bitch de tout ce qui est rock et qui envoie du steak. Et tout l’EP est basiquement à la hauteur, promettant un avenir radieux pour le groupe s’il continue sur cette lancée.
Derrière, j’ai enfin pu régler mon dilemme moral quant à l’inclusion d’Emily Armstrong dans la nouvelle line-up du groupe de mon adolescence, Linkin Park, parce qu’on ne peut pas toujours être original, et j’ai acheté From Zero avec un certain soulagement et un peu de circonspection ; parce qu’évidemment, sans Chester Bennington, ça ne pouvait plus être la même chose. Déjà que ça ne l’était plus vraiment depuis Hybrid Theory et Meteora, sans doute les plus vieux albums de ma discothèque dont je ne me lasserai jamais ; j’avoue que l’énergie et le style unique des débuts me manquaient, et j’espérais, pas trop radicalement mais quand même, un retour vers ce nu metal singulier dont Mike Shinoda et Joe Hahn avaient le secret.
C’est porté par l’espoir des singles Heavy is the Crown et Two Faced que je me suis dit qu’il fallait tenter, parce que vraiment, le flow de Shinoda, associé aux scratchs de Hahn et aux riffs de Brad Delson, avec les capacités vocales d’Armstrong, il se passait quelque chose touchant presque à l’émotionnel pour moi : la nostalgie a joué sa part avec joie. Et bon. En dehors de ces singles et du morceau Stained, je ne peux pas vraiment dire que j’ai eu ce pour quoi je suis venu. Mais je ne suis certainement pas déçu pour autant, au contraire, je suis optimiste : la rage signature du groupe me parait toujours être là, et n’attend qu’un peu de maturité et de complicité nouvelle pour émuler correctement et nous ressortir des bangers à nouveau. J’ai envie d’y croire. Et au pire, ça ne sera certainement pas mauvais, juste autre chose ; et autre chose, parfois, c’est bien. Au fond, que Linkin Park existe toujours dans des termes qui conviennent à la majorité du groupe, moi c’est tout ce que je demande ; la bonne musique dont je peux ponctuellement profiter, c’est que du bonus.
Et pour finir, après la découverte très enthousiaste de Palaye Royale en fin d’année dernière pile au bon moment pour ma lecture et chronique du premier tome de Locke Lamora, et sur les conseils enthousiastes de la fan qui m’avait en premier fait les écouter, j’ai décidé de pousser plus loin que The Bastards pour m’intéresser à Death or Glory. Et c’est encore super. J’aime beaucoup ce genre de groupe, qui ne semble pas forcément réinventer quoi que ce soit, musicalement parlant, mais qui a trouvé sa voie et l’explore à fond, à sa manière. Ici, c’est du rock un peu trash, un peu glam, autour des thèmes classiques du genre, avec un chanteur à la voix rauque et toute pétée qui ajoute un charme certain à l’ensemble, jouant avec une certaine ironie de l’image qu’on attend d’un tel groupe, dans les textes ou l’attitude. Mention spéciale à Addicted to the Wicked & Twisted qui va me rester dans le crâne un bon bout de temps, ainsi qu’à l’interlude parlée de Pretty Stranger qui ne me fera jamais pas rire au moins un petit peu.
Vive la musique.
Et voilà pour février ! 28 jours, mais pas de relâche, clairement. Je me serais jamais attendu à ce que ces capsules soient aussi volumineuses. Bah. J’avais qu’à mieux réfléchir. Et puis je suis content, en vrai, j’ai aucune raison de me plaindre.
On se retrouve fin mars, ou plus tôt si vous avez des choses à me dire ou dont vous voudriez papoter ; ce sera avec plaisir.
Au plaisir de vous recroiser.
En attendant, que votre avenir soit rempli d’étoiles. 😉

J’aurais pas cru, mais The monkey me tente bien (mais il passe pas dans ma ville, snif), et faut vraiment que je me mette à Severance un de ces jours.
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